Tags : Salomée Miroir, drogues, U.D., salles de consommation, salle de consommation à moindre risque, ministère de la santé, Marisol Touraine, expérimentation, Gaëlle-Marie Zimmermann, nouvelobs.com, presse prohibitionniste, opposition, déclarations, injection, organisation, incitation, arguments, politique de la peur, Bernard Debré, dépendance, sevrage, interdiction, pragmatisme, tabou, prison, sevrage brutal, vide thérapeutique, soins, aide, souffrance, peur, conséquences, toxicomanie, oppression, agression, institutions, marginalisation, répression, guerre aux drogues, politique, existence, invisibilité, témoignage, éthique, morale, acceptation, adaptation, remise en question, humanisme, déni, idéologie, police, loi de 1970, harcèlement policier, sécurité, accords avec la police, galéniques, sniff, inhalation, problèmes sanitaires, pratiques de consommation, équipe médicale, infantilisation, autonomie, chiffres, avancée, précarité, sdf, toilettes publiques, squats, insalubrité, partage de seringue usagée, dignité
Qwaaaa? « Parce que dans le dispositif tel quil est prévu, ce sont des soignants qui injectent des malades, et à ces malades, on est pas censés apprendre lautonomie. Finalement, tout va bien, le paternalisme est sain et sauf, et la négation du toxico en tant que sujet actif reste sauve. Amen. » Non mais j'ai mal lu ou alors elle a mal vu... Enfin j'espère parce que là personne va les utiliser si c'est comme ça... La plupart des gens connaissent leurs veines par coeur et ne souffrent pas qu'un inconnu y touche... D'autant qu'elles sont généralement niquées de partout alors les points d'injection restants sont rares et abîmés... Bref ça c'est pas un truc vraiment cool selon moi. Ça devrait être un plus, au cas où le gars n'arrive pas à trouver sa veine, ou dans le cas de personnes handicapées qui veulent absolument à tout prix se shooter mais qui ne peuvent pas tout seuls, eux aujourd'hui se baladent en proposant une "affaire"à tous les autres consommateurs : contre une dose ou une demi dose en temps de disette, faut jouer le rôle d'infirmier sur des bras défoncés, c'est le coup à passer 1/4 d'heure à fouiller avec la seringue dans un vieux trou ulcéré avant de tout envoyer dans le vide parce que au bout de 20 minutes la porte de la sanisette s'ouvre et offre au public le spectacle de deux tokoss entrain de faire ils ne savent quoi et grand dieux ils ne veulent surtout pas le savoir... Quoi c'est caricatural...? C'est du vécu!
Qwaaaa? « Parce que dans le dispositif tel quil est prévu, ce sont des soignants qui injectent des malades, et à ces malades, on est pas censés apprendre lautonomie. Finalement, tout va bien, le paternalisme est sain et sauf, et la négation du toxico en tant que sujet actif reste sauve. Amen. » Non mais j'ai mal lu ou alors elle a mal vu... Enfin j'espère parce que là personne va les utiliser si c'est comme ça... La plupart des gens connaissent leurs veines par coeur et ne souffrent pas qu'un inconnu y touche... D'autant qu'elles sont généralement niquées de partout alors les points d'injection restants sont rares et abîmés... Bref ça c'est pas un truc vraiment cool selon moi. Ça devrait être un plus, au cas où le gars n'arrive pas à trouver sa veine, ou dans le cas de personnes handicapées qui veulent absolument à tout prix se shooter mais qui ne peuvent pas tout seuls, eux aujourd'hui se baladent en proposant une "affaire"à tous les autres consommateurs : contre une dose ou une demi dose en temps de disette, faut jouer le rôle d'infirmier sur des bras défoncés, c'est le coup à passer 1/4 d'heure à fouiller avec la seringue dans un vieux trou ulcéré avant de tout envoyer dans le vide parce que au bout de 20 minutes la porte de la sanisette s'ouvre et offre au public le spectacle de deux tokoss entrain de faire ils ne savent quoi et grand dieux ils ne veulent surtout pas le savoir... Quoi c'est caricatural...? C'est du vécu!
